Les 5 cartes

Définition de la réussite

L’air du “moi d’abord” est-elle révolue ?

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Aligner les valeurs de mon travail sur mes propres valeurs

Je suis convaincue que si le travail ne correspond pas à nos aspirations, cela affecte notre identité en tant qu’individu. Je ne pourrais pas envisager de faire un travail qui ne me corresponde pas, qui ne reflète pas qui je suis en tant que personne.

Avec ma cofondatrice, nous sommes très alignées sur les valeurs à privilégier dans notre entreprise. On voulait porter les mêmes causes, on avait les mêmes centres d’intérêt. Les désaccords sur le reste sont alors devenus accessoires.

La proposition de Dtalents 1/5

Les valeurs se ressentent plus qu’elles ne s’écrivent. Toutes les entreprises ont des valeurs et sont obligées, à un moment, de les afficher. Certaines forcent le trait et finissent par basculer dans le «good washing». Il y a une différence entre les afficher et les faire vivre dans les décisions prises au quotidien.

Léa Sarcinella
Cynthia Antoine Marcellin

Considérer l’erreur comme une réussite

Nous sommes dans une société qui, à travers les nouveaux réseaux sociaux, ne montre que la perfection où tout le monde est un surhomme ou une surfemme beau grand et musclé. On a tout à faire sur le droit à l’erreur.

C’est en ratant des marches et en recommençant que nous avons ressenti de la satisfaction. Maintenant il n’y a plus de peur, il y a juste l’envie de faire encore mieux la prochaine fois.

La proposition de Dtalents 2/5

Une fois débarrassée de sa connotation négative, l’erreur est nécessaire car elle accompagne le changement. Dans la posture de chacun, la définition du droit à l’erreur se transforme pour devenir un droit à la prise de risque. Et dans ce cas, le succès n’est pas garanti et l’erreur partie intégrante du processus. Les entreprises qui ne prennent jamais de risques sont potentiellement vouées à disparaitre.

Thierry vignal et la SOPCZ
Victoria Petri
Christophe Melo

Ma réussite et celle de ma planète

La réussite est un sentiment intérieur qui ne peut être mis en miroir qu’avec ce qu’on est vraiment. Quand j’ai commencé ma carrière professionnelle, je me suis promis une chose : réussir ma vie.

Si ma réussite personnelle coexiste avec l’effondrement de mon village, de mon entreprise, ou même de la planète, est-ce réellement une réussite ?

La proposition de Dtalents 3/5

L’entreprise qui réussit aujourd’hui, vit dans son temps et répond finalement aux aspirations de son environnement. L’entreprise n’est plus seulement une source de production. Elle est avant tout une actrice sociale, économique et environnementale. Les entreprises qui resteront le plus dans la course seront celles qui seront capables de manager tous ces aspects essentiels dans lesquels le monde extérieur va se reconnaître.

Catherine Demaille
Frérédique Joucla
Christophe Melo

Transmettre le savoir et l’expertise au-delà de moi

Si j’ai réussi à transmettre mes compétences, le jour où je ne serai plus là, l’entreprise, elle, le sera. Nous aurons réussi.

La proposition de Dtalents 4/5

La transmission est une reconstruction permanente. La personne qui reçoit le savoir va se l’approprier, y mettre sa touche personnelle et l’intégrer dans un contexte qui évolue. Les connaissances sont actualisées en permanence et œuvrent à la pérennité de l’entreprise. La transmission est un échange qui permet à celui qui partage d’apprendre et de gagner en estime de soi. Transmettre régulièrement son savoir-faire et son expertise rend heureux.

Thierry vignal et la SOPCZ
Maxime Jouaud et Insilibio

Regarder devant et s’inscrire dans le temps long

Une entreprise qui réussit n’est pas forcément celle qui change rapidement. Le changement peut être bénéfique s’il est accompagné d’une certaine continuité et d’une vision claire, pour les employés et les clients. La lenteur pourrait être vue comme une clé de la réussite.

Regarder plus devant que derrière. Pas facile quand on a plus de 100 ans. Les difficultés ont existé, elles existent. Pour se projeter il faut être résilient et laisser chacun proposer des choses.

La proposition de Dtalents 5/5

Prenons conscience de notre dépendance à l’instantanéité du «tout, tout de suite» pour repenser notre rapport au temps à différentes échelles : l’individu, l’entreprise, la planète. Penser le temps long exige de la personne qu’elle s’élargisse, qu’elle s’étende, vers le passé comme l’avenir.

Nicolas Sevenier
Thierry vignal et la SOPCZ
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Les liens de l’écosystème

Comment intégrer sans se désintégrer ?

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Les rapports hiérarchiques

A quoi sert vraiment votre N+1 ?

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Travail et vie perso

Être ou ne pas être… soi au travail ?

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Définition de la réussite

L’air du “moi d’abord” est-elle révolue ?

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